Vous êtes peut-être comptable, médecin, enseignant, facteur, architecte… Ce métier vous l’exercez avec passion mais vous avez toujours ressenti un vif désir d’écrire. Ne désespérez pas, tous les chemins mènent à l’écriture !
Ceci dit, ne craignez pas d’écouter votre petite voix intérieure. N’hésitez plus et consacrez-vous à ce qui vous fait vibrer.
J’étais comme vous. J’ai exercé vingt ans le métier d’opticienne. Mais durant ces longues années, je n’ai jamais cessé d’écrire et de participer à de nombreux concours – surtout des concours de nouvelles – pour m’obliger à travailler encore et toujours.
Car je n’ai jamais réussi à refréner totalement ma passion de l’écriture même si je l’ai parfois reléguée aux oubliettes par manque de temps, à la naissance de mes enfants ou simplement happée par le tourbillon de la vie.
Reprendre l’écriture m’a coûté chaque fois. Au moins autant qu’au sportif qui reprendrait l’entraînement après une pause. Il faut retrouver ses marques, ses réflexes, son souffle, sa concentration, son inspiration. Les premiers temps, il est assez déstabilisant de constater que même les mots peinent à venir.
Écrivain n’a pas pas toujours été mon métier. Aujourd’hui, j’ai la chance d’écrire tous les jours et de vivre de ma passion. Alors, je ne sais pas pour vous mais de mon côté, il n’est plus question que je fasse de pause !
Qu’en est-il de votre parcours d’écriture ? Avez-vous connu des pauses ?
Quel déclic vous a ramené à l’écriture ? Exprimez-vous en commentaire.
PS 1 : Il faut que je vous confie quelque chose…
Il y a quelques jours une lectrice m’a envoyé un mail pour me dire qu’elle avait eu le déclic et s’est remise à l’écriture en découvrant Aproposdecriture. Je vous laisse imaginer ma joie.
PS 2 : Ça y est… Le 1er concours de nouvelles d’Aproposdecriture est clôturé !
Je remercie vivement les participants pour leurs travaux d’écriture.
Je reviens très vite vous en parler.
Je vous remercie pour tous vos conseils d’écriture.
Chaque article apporte toujours un peu plus d’eau à mon humble moulin.
Cependant je suis gênée pour lire correctement à cause de la couleur grise du fond de page que je trouve trop foncée par rapport au noir de la police, mais ceci est tout à fait personnel. C’est l’inconvénient d’avoir 60 printemps !
De toute façon, soyez assurée que je continurai à vous lire.
Encore merci de partager votre expérience de l’écrire.
Merci Anne !
Si vous peinez à lire à l’écran, peut-être pouvez-vous trouver un peu de confort en appuyant sur la touche Ctrl de votre clavier tout en actionnant la molette de votre souris. Vous allez ainsi agrandir (ou diminuer) la taille de ce qui s’affiche à l’écran. Cela vous donnera plus d’aisance à la lecture.
Bien à vous