Avant de vous lancer dans l’écriture de votre roman, prenez garde à ne pas bâcler vos recherches. Elles sont très importantes que votre récit soit ancré dans le réel ou l’imaginaire. Ne manquez pas cette étape importante de l’écriture.
Lorsque vous écrivez ou projetez d’écrire un roman, il y a une part d’imagination et une part de réalité. Cette réalité doit être bien documentée pour fournir des informations précises à votre lecteur.
Aussi portez une attention particulière à cette documentation car il est question de la qualité de vos écrits et de vos sources ainsi que de l’intégrité de votre histoire. Et ce qui constitue la part d’imaginaire dans votre futur roman n’est pas en reste. Elle doit être crédible et même s’il s’agit d’inventer un nouveau monde par exemple, votre imagination sera stimulée et rendue fiable par vos recherches.
Paradoxalement, quand on fait appel à un contexte inconnu du lecteur, il faut user de descriptions avec force détails. Quand on fait référence à des personnages ou des lieux non fictifs, la représentation que se font les lecteurs est plus rapide et demande moins de mots. Cependant, il faudra être précis dans ses recherches car si le contexte est réel, sa force réside dans la précision des détails et il est inconcevable de fournir de fausses informations.
La quantité de travail peut varier en fonction du type d’ouvrage que vous écrivez. Écrire un roman historique demande des recherches très approfondies.
Que l’on soit dans l’imaginaire ou dans la réalité, le roman ne doit pas souffrir un manque de recherches et de documentation.
Le décor
Pour planter un décor, il est important d’être précis, de faire attention aux détails. Rien de tel que des recherches poussées avant de le décrire. De nombreux supports sont susceptibles de vous donner des informations. Intéressez-vous
- aux guides touristiques,
- aux journaux,
- à des revues historiques,
- au bottin de la région (indicatif intéressant en matière de noms de famille),
- aux spécialités locales (culinaires, musicales ou événementielles) et
- à tout ce qui peut vous imprégner de l’esprit du lieu.
Par ailleurs, si vous en avez la possibilité, rendez vous sur les lieux. Voir les choses permet une description plus réelle. Sur place, vous aurez aussi l’occasion de ressentir l’atmosphère, sentir les odeurs, apprécier les sons, autant de détails qui nourriront avec force votre décor et transporteront le lecteur dans un ailleurs. J’ai déjà souligné l’importance d’écrire avec les cinq sens. Cliquez ici pour lire l’article et ceux dédiés à l’ouïe, au toucher, à l’odorat, au goût et à la vision.
Si vous ne pouvez pas vous déplacer, profitez d’internet pour visualiser les lieux. Les photographies peuvent être d’excellents outils pour décrire les villes et les paysages. Intéressez-vous aussi au passé du lieu pour en comprendre le patrimoine architectural et culturel. Cela vous donnera des informations sur le caractère et la mentalité des habitants, et précisera les sentiments et émotions de vos personnages.
Pour finir, évitez de copier des films ou des romans. Faites-vous votre propre idée, créez votre propre atmosphère en vous inspirant de sources fiables et neutres.
Les personnages
Une fois que vous avez fait les recherches concernant le décor, vous avez en main de nombreux éléments pour commencer la construction de vos personnages. Selon le contexte, certains caractères se dessinent en fonction de leur lieu d’habitation, mais aussi de leur origine. C’est pourquoi il est important de vous plonger dans le contexte présent, mais aussi dans leurs racines.
Même si tous les éléments ne seront pas utilisés dans la phase de rédaction, ils sont importants pour compléter de manière exhaustive le profil de vos héros. (voir article fiche personnage)
En ce qui concerne les émotions des personnages, les recherches commencent par l’introspection. Quoi de mieux que sa propre expérience et des situations vécues pour décrire émotionnellement et physiquement ce que ressentent vos personnages ? Pensez aussi à interroger des proches ou autres qui ont vécu certaines situations particulières que vous souhaitez exprimer.
Cette recherche plus émotionnelle que contextuelle est un travail qui se fait dans la durée. N’arrêtez jamais de prendre des notes sur vos émotions, vos ressentis et vos impressions. Peu importe la situation, l’une ou l’autre de ces descriptions pourra vous servir un jour. Il s’agit également d’un excellent exercice d’écriture au quotidien.
Par ailleurs, écrire un roman et faire des recherches ne signifient pas s’enfermer dans une bibliothèque ou chez soi. La première source d’inspiration est votre expérience.
Les recherches historiques
Un roman historique demande des recherches très poussées. Il ne souffre pas les anachronismes et les imprécisions. Votre récit doit être authentique. Il sera jugé sur la qualité de la fiction autant que sur son intégration dans le contexte historique.
Avant de commencer vos recherches, définissez bien quelles périodes vont traverser votre histoire. Ensuite, lisez. Plongez-vous dans tout ce qui vous intéresse dans cette époque. Laissez-vous entraîner par des personnages, des faits, des lieux et l’atmosphère qui ont marqué la période. Ne vous limitez pas et profitez de toute l’information qui viendra à vous. C’est l’étape la plus importante de votre récit. Offrez à vos recherches le temps qu’il faudra.
Comme pour le reste, privilégiez les sources de premier ordre telles que des archives (images et journaux d’époque) ou des écrits d’auteurs historiques… N’hésitez pas à varier les points de vue lorsque vous vous plongez dans des sources secondaires. Aucun auteur n’est réellement objectif et il est bon de comparer les écrits. Par ailleurs, les recherches primaires que vous aurez faites précédemment vous permettront d’étoffer votre propre avis.
Lors de vos recherches, prenez des notes. Et surtout, notez les détails. Ce sont eux qui rendront votre récit plus authentique, qui capteront l’attention du lecteur. Rien de tel que de petits éléments très significatifs pour marquer votre différence !
Vous avez une meilleure idée des recherches à accomplir pour écrire votre roman.
Quelles sources utilisez-vous pour faire vos recherches ?
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En ce qui me concerne, j’ai fait le choix de me méfier des descriptions. Trop de documentation tue la précision du récit, à mon sens. En tant que lecteur (et à fortiori en tant qu’auteur) rien ne m’insupporte plus qu’un texte où chaque description cannibalise le récit d’une demi page.
Pour moi, pas besoin de dix lignes pour décrire un caillou. Un caillou est un caillou, point. Chaque lecteur en fera sa représentation.
Et de la même façon pour la documentation, si on parle d’un lieu ou d’un décor. On peux décrire le lieu et le contexte de façon succincte et laisser l’imagination du lecteur faire le reste. Il faut lui donner des pistes pour l’orienter, mais par pitié, il faut préserver une part d’imaginaire!
On peux simplement parler d’une « vieille ferme délabrée dans l’arrière pays » par exemple. Appuyer le propos en parlant succinctement d’ « un bâtiment du siècle dernier » ou plus tard dans le récit appuyer le décor en parlant du « plancher vermoulu », « des volets à moitié décrochés de leurs supports »…
Mais pas besoin d’asséner au lecteur une description lourde disant que la ferme se trouve à 1786 mètres du panneau de sortie de la ville, construite en 1894 à base de bois coupé avec une scie manuelle. Qu’elle comporte X planches, que le toit est de X tuiles. Que bla bla bla bla bla.
Je donne cet exemple car c’est celui qui me vient en tête à l’instant. Mais pour chaque lecteur « une vieille ferme délabrée » évoquera forcément quelque chose. A lui de construire son imaginaire à partir des clés que l’auteur donne dans son récit.
Après, ce n’est qu’un point de vue personnel. Il faut se documenter, c’est une certitude. Mais ne pas « décrire en détail ». Plutôt « évoquer ».
Je suis plutôt d’accord avec vous. De toute façon, je n’aime pas les longues descriptions. Certains auteurs sont spécialistes de descriptions longues et ennuyeuses.
En revanche, j’aime bien me documenter pour me plonger dans l’ambiance de mon récit. Je n’ai pas dit dans mon article qu’il fallait en faire des tonnes. Mais il m’arrive de lire des textes où les incohérences sont flagrantes. Après, tout dépend du livre que vous écrivez. Par exemple, dès que vous touchez à l’Histoire, mieux ne pas faire de fausses notes.
Sinon, comme vous, je pense qu’il ne faut pas décrire en détail mais évoquer. C’est le propre de l’écriture !
A bientôt
A titre d’exemple, j’ai le souvenir de deux auteurs, pourtant réputés, dont le style m’a rebuté. De mémoire il s’agit d’Anne Rice et de JRR Tolkien (pas vraiment des débutants :D)
Anne Rice à cette tendance à la description dans le détail qui m’horripile. Je me souviens d’un texte où il me semble qu’elle passe un temps fou à décrire un buisson fleuri…
Pour Tolkien c’est, de mémoire, dans le Seigneur des Anneaux. Certains passages sont longs. Très longs.
Je vais caricaturer un peu mais ca donne quelque chose de ce genre:
« Ils marchaient sur le sentier. Puis après environ cent pas ils rencontrèrent un arbre (description de l’arbre). Un peu plus loin, ils virent un rocher ( description du rocher). Il faisait beau (description du ciel). Et la plaine était vaste (description de l’histoire de la plaine)… »
Je sais, je caricature. Mais concrètement…. on a juste quelques personnages qui marchent cent mètres dans une plaine où l’on ne trouve que quelques arbres et rochers épars.
Bref. J’aime quand un texte est direct. Simpliste diront certains puristes. Mais à mes yeux, l’important c’est qu’un texte soit efficace et accrocheur pour le lecteur, plutôt que poétique et « beau » dans l’écriture.
Les temps ont changé, et les lecteurs aussi.
C’est vrai, les temps ont changé et les lecteurs aussi. Finies les descriptions interminables à la Balzac. Les lecteurs actuels apprécient mieux une écriture épurée. Après, il en faut pour tous les goûts. Certains se régalent encore d’une écriture poétique et belle. On ne pourra jamais plaire à tout le monde !
En effet Tolkien décrit énormement et d’une façon très monotones au début du Seigneur des Anneaux. Mais je pense que ces descriptions incessantes servent plutôt bien le roman. Elles nous donnent l’impression d’être en voyage avec les Hobbits et nous plongent mieux dans l’histoire en nous donnant un décors extremement bien dépeint. Et bien que l’on pourrait nous même nous imaginer les différent tournant et arbres et pierres qu’ils croisent ces longues descriptions finissent par s’estomper au fur et a mesure des Livres ce qui rend l’action de plus en plus haletante et le Livre de plus en plus difficile à poser.
Bien que j’ai adoré lire Tolkien je suis assez d’accord. Tant de descriptions n’étaient pas primordiales mais j’ai l’impression que les livres du style heroic-fantasy sont aujourd’hui dénué de belles descriptions comme certains auteurs d’autres époques savaient les faire.
Bonjour
Merci pour votre contribution.
C’est vrai que la littérature actuelle est plutôt économe et les descriptions se font plus rares.
A bientôt
Bonjour.
Je cherchais quelques réponses à mes questions quand je suis tombée sur l’article. Dans un premier temps, je ne suis pas sûre de comprendre ce débat autour de la « description ». Pour moi, une bonne description est une description qui a une raison d’être. Qu’elle fasse cinq lignes ou deux pages, je m’en fiche. Je la lirai et j’essaierai de trouver où l’auteur veut en venir. Ensuite, je pense qu’il faut se renseigner, se documenter, pas pour mettre des détails dans des descriptions (du moins pas en un premier lieu), mais simplement parce que si l’auteur ne peut pas se représenter avec précision chaque petites choses d’une scène, d’un endroit, d’un moment, son lecteur ne pourra pas se représenter ne serait-ce qu’une « chose » de tout cela. Je pense en quelques sorte que si l’auteur connait la totalité, il peut transmettre à son lecteur le principal. C’est mon postulat de départ, ce en quoi je crois, davantage par une espèce de foi quasi-religieuse, que par l’esprit ou la raison. Vous avez bien entendu le droit de ne pas être d’accord.
Notre réel est la base de notre imagination. Nous ne pouvons imaginer qu’à partir de choses abstraites ou concrètes que nous connaissons déjà. Apprendre sur notre monde et sur nous permet d’enrichir notre imaginaire. Même dans un monde de fiction, dans un univers créer de toute pièce, notre monde est encore source d’inspiration, nos cultures, nos langues, notre histoire, nos conceptions du monde, sont des éléments nécessaires à la création d’un monde imaginaire. C’est en quelques sorte en comprenant (plus ou moins) comment fonctionne notre monde, nos cultures, nos croyances que nous nous sommes capables d’inventer des ersatz de monde.Je parle d’ersatz car ces mondes de fictions sont limités par la médiocrité de nos cerveaux, par ce que nous savons et ce que nous ignorons : « les blancs de l’histoire ».
Ces blancs dans un monde de fantaisie, c’est simplement ce que les personnages ignorent, ce qu’il y a au-delà de la carte (parce que bon, les cartes sont généralement pas très grandes, quand elles sont un minimum précises), les zones inconnus, mais aussi les trous historiques, l’histoire du Royaume X, des ses souverains, de son peuple jusqu’au temps du récit, sans compter l’évolution culturelle des mœurs, des religions, de l’art qui font qu’ont en est là où on en est dans l’histoire. Ce sont des choses parfois évoquées, (tel texte fondateur de telle secte…), parfois reconstituée (le dit texte a été rédigé !), mais le plus souvent tout simplement omis (on sait juste que la secte croit en tel dieu, et puis c’est tout). Ces blancs sont finalement un manque de précision de notre part, dans notre imaginaire, c’est la limite à notre pouvoir de création.
Quand on choisit d’utiliser notre réel comme trame de fond, comme contexte de l’histoire, beaucoup de ces choses n’ont pas besoin d’être imaginées. Nous possédons une base de connaissance plus ou moins étendue en la matière, qui peut être enrichie avec des recherches. Selon ce que vous choisissez comme contexte, vous disposerez d’un plus ou moins grand nombre de données. Le nombre de chose que nous savons sur la Mésopotamie ancienne, est certainement moins élevé que ce que nous savons sur le moyen-âge et encore moins élevé que ce que nous savons de la première guerre mondiale. Choisir un temps véritablement éloigné, oblige à devoir combler ce que l’on ignore par ce que l’on invente (qui sait comment s’appelait le village gaulois le plus proche de bourges, moi pas… Les historiens non plus, je ne crois pas…) En revanche, plus on s’enracine dans l’histoire moderne, plus le nombre de connaissances liées sont élevées, plus l’ensemble de ces données géographiques/historiques/culturelles, forment une prison dans laquelle la fiction tout entière est contenue.
Ma question est : où se finit le réel, où commence la fiction ?
Ni le scénario, ni les personnages ne peuvent se soustraire de cette « réalité ». Ils subissent les contraintes du réel, pensent, réagissent et font avancer le scénario uniquement en fonction de cette « réalité spacio-temporelle ». Ici, les blancs de l’histoire se révèlent souvent à travers notre ignorance personnelle, parce que nous ne sommes pas tous de grands spécialistes, de telles ou telle société, de telle ou telle époque… Nous sommes limités dans notre savoir et même dans notre compréhension (par exemple, une interprétation bonne ou pas d’un phénomène social). C’est ainsi qu’apparaissent les erreurs, les imprécisions, les invraisemblances. Le problème n’est pas uniquement celui des anachronismes, erreurs flagrantes, mais aussi celui de l’incohérence. Le contexte influence le récit, et c’est naturel puisque c’est celui que nous avons choisi en trame de fond pour celui-ci, et c’est ce qui est censé lui donner son authenticité. Il paraîtrait étrange de voir dans un roman, un noir et un blanc discuter sur même banc, au beau milieu du XVIIème siècle. Les mentalités, révélatrice d’une époque et d’une culture doivent transparaître à travers les personnages. On ne peut pas juste ignorer/faire l’impasse sur tout ce qui se passe et caractérise une période de l’histoire, au risque de faire perdre tout réalisme au récit. Un événement politique peut infléchir sur un scénario, de même pour les personnages publics/historiques qui peuvent apparaître dans une fiction, car ils font partie d’un cercle spécifique (société) dont fait également partie le héros de l’histoire. A fortiori, ce type de personnage aura déjà une biographie, une apparence physique dont il faudra obligatoirement tenir compte. Cependant, la façon dont il va interagir avec des personnages fictifs, son comportement, son caractère particulier, relève de la fiction. Il devient alors lui-même un personnage de fiction et n’a plus rien à voir avec l’homme, l’être vivant qu’il a été. Aucun personnage ne peut selon moi, reproduire la complexité d’un véritable être humain, et ce n’est que vanité d’en prétendre le contraire.
Dans un roman, le réel reste de la fiction. Il me semble qu’on appelle ça, l’illusion du réel. Chaque auteur va sacrifier une partie de sa liberté créatrice pour maintenir cette illusion du réel de manière plus ou moins fidèle. Chacun fait ses propre choix, à chaque fois que la fiction et la réalité se rencontre dans le récit, de prendre des libertés sur le réel, ou de se conformer à celui-ci. C’est là où je suis arrivée actuellement dans mon questionnement. Je manque de renseignements précis pour mon histoire, je pourrais sans doute trouver les réponses que je cherche, mais il me faudrait faire des recherches particulièrement ardues, sûrement plusieurs années, et peut être même consulter les archives de Londres (alors que je pipe à peine un mot sur trois en anglais…) Je pourrais aussi choisir de m’émanciper de ces contraintes… Mais dans quelle mesure ? Que puis-je inventer, sans détruire cette illusion du réel ?
Pour finir, j’aimerai rappeler que « Les personnages et les situations d'[un] récit étant purement fictifs, toute ressemblance avec des personnes ou des situations existantes ou ayant existé ne saurait être que fortuite » Cette maxime que l’on rencontre de nos jours couramment et qui nous a, Dieu merci, libéré de bien des contraintes, n’a pas toujours été. Il y eut un temps au début du roman, où il fallait à tout prix faire preuve de véracité. On se souvient des fausses vraies mémoires, où le narrateur prêtait limite serment de vérité, (procédé qui n’est pas encore mort d’ailleurs) puis plus tard avec le naturaliste, qui faisait des enquêtes de terrains (toujours recommandée !). On pourrait croire qu’on a dépassé le débat, mais je pense qu’il n’en est rien. On en est encore à chercher ce qui dans la fiction pourrait remplacer, le gage d’authenticité d’une histoire vraie.
Merci pour ce long commentaire (c’est le premier aussi long du blog !)
Juste m’informer du fait que je viens de terminer la rédaction de mon roman; j’aimerai une adaptation dans un film de l’histoire raconté qui est très fascinant. Je suis à Kinshasa en RD Congo. Je cherche quelqu’un qui peut produire ça ou me mettre en contact avec un producteur.
Bonjour
Désolée, je ne connais pas de producteur.
Cordialement
Bonjour, j’ai une petite question : ne faut-il pas d’autorisations pour situer l’action d’une oeuvre de fiction dans un lieu ou une institution réelle ? Par exemple, peut-on écrire un roman dont l’action se déroule à l’INSERM ? Merci 😉
Bonjour
Tout dépend de l’histoire que vous racontez. Je veux dire par là qu’il faut éviter de donner des précisions sur des personnes, des services, des situations… Certains pourraient se sentir visés et alors on serait dans la diffamation. L’INSERM ne doit être qu’un élément de décor si je puis dire.
Bien à vous
J’ai une petite question . Voilà, dans mon roman il y a des actes réel ça veut dire que ce n’est pas une histoire imaginaire . Mais j’ai mal à trouver un lieu … Vous avez dis qu’il faut être précis , et c’est cela le problème . J’ai réfléchis d’inventer un lieu mais cela n’as pas réussi .
Merci