Je suis en train de peaufiner l’article traitant des autres points à travailler pour améliorer son style. Et je travaille aussi sur plusieurs projets en ce moment. Je vous fais donc juste un petit coucou avec cet article de quelques lignes.

 

 

 

 

Juste avant, je rappelle qu’il reste encore quelques jours pour participer au 15e concours de nouvelles du blog. J’ai déjà reçu 44 nouvelles !

Je remets le lien vers l’article et le règlement du concours. Pour celles et ceux qui ne l’ont pas encore fait, n’hésitez pas à vous lancer. Participer à un concours de nouvelles est un très bon exercice.

 

Allez, je reviens au sujet de cet article…

 

Les auteurs qui m’inspirent

 

Hier, je pensais à tous ces auteurs qui m’ont inspirée, qui continuent de m’inspirer et desquels j’ai beaucoup appris. Alors bien entendu, il y a les grands auteurs classiques. Mais pas seulement.

 

Pour celles et ceux qui me suivent depuis longtemps, ils savent que mon auteur fétiche, c’est Stefan Zweig. J’aime son écriture ciselée et élégante. Ses nouvelles courtes, à l’architecture maîtrisée. Sa psychologie fine des personnages qui les rend présents et éternels.

 

Je ne me lasse pas de le lire encore et encore… et je continue de m’émerveiller.

 

 

 

Mais Zweig n’est pas le seul…

 

J’ai une grande admiration pour William Trevor, auteur irlandais de dix romans traduits dont Les Splendeurs de l’Alexandra (Alinéa, 1989, repris par Joëlle Losfeld en 1999), En lisant Tourgueniev (Booker Prize, 1991, Phébus, 1993), Le Voyage de Félicia (Phébus, 1996, adapté au cinéma par Atom Egoyan), Lucy (Phébus, 2003) ou encore Cet été-là, son dernier, l’histoire bouleversante d’une obsession amoureuse dans l’Irlande des années 1950 (Phébus, 2012).

 

Malgré ses 10 romans, c’est comme nouvelliste que Trevor se distingue vraiment. Bon il a quand signé plus de 300 nouvelles. La plupart des histoires courtes de William Trevor ont été regroupées dans Mauvaises Nouvelles, Très mauvaises nouvelles, Le Visiteur et autres nouvelles et Les anges dînent au Ritz.

 

 

 

 

 

Mes coups de cœur littéraire 

 

Si des auteurs ont marqué mon parcours d’écrivain, certains livres restent de véritables coups de cœur à jamais gravés.

Vous le savez bien, il y a les livres que l’on aime, ceux que l’on adore et un jour, par hasard, vous tenez entre les mains LE LIVRE que vous n’oublierez jamais (et surtout, celui que vous auriez tellement aimé écrire !)

 

Incontestablement celui que je n’ai jamais oublié c’est : SUR L’EPAULE DE LA NUIT de David Lelait-Helo

 

 

Ce roman reste un très grand moment de lecture. Je l’ai découvert à sa sortie en 2010 et depuis, il reste un vrai coup de cœur. Et surtout, une écriture   précise et subtile.

 

Très récemment, j’ai découvert, toujours par hasard : Comme un parfum d’éternité de Francisco Da Conceiçao

 


L’histoire : Deux femmes. Caroline a trente-cinq ans, Marie quatre-vingt-sept. Rien ne semble les lier. Pourtant, elles se croisent le temps d’une biographie. Caroline ne sait pas encore que la vieille dame va bousculer toutes ses certitudes.

 

Impossible de lâcher l’histoire. Je me suis régalée. Une écriture qui embarque… Dieu que c’est bon ! Dans ce roman palpitant et plein de rebondissements, l’auteur déroule la relation émouvante entre deux femmes dont les parcours de vie mouvementés s’entremêlent dans l’histoire du XXe siècle. Passionnant !  Et intéressant de décortiquer les techniques de suspense mises en œuvre par l’auteur.

 

Alors, je vous pose la question aujourd’hui :

 

Quels auteurs vous inspirent et pourquoi ?
Qu’avez-vous appris d’eux ?

Je vous laisse vous exprimer dans la zone commentaire. Hâte de lire vos retours

 

À vos succès d’écriture…

 

 

 

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