Le monde de l’édition est un monde opaque, jonché de pièges. Aimé, abonné fidèle du blog, m’a adressé hier une vidéo qu’il a découverte en surfant sur YouTube. J’ai déprogrammé un article afin que vous en preniez connaissance au plus vite. Un auteur averti en vaut deux !
De quoi parle cette vidéo ?
Après une enquête très sérieuse et rondement menée, Christelle Lebailly, auteure et youtubeuse, dresse un bilan très instructif. Je vous recommande vivement de regarder la vidéo jusqu’à la fin.
Merci à Christelle pour cette enquête, son retour. Et son travail pertinent !
site internet : www.christellelebaillyauteur.com
Merci à Aimé.
Je reçois chaque semaine des mails d’écrivains qui me demandent mon avis sur les contrats qu’on leur propose. De vous à moi, tout est dit dans cette vidéo.
Et je ne dis qu’une chose : restez très vigilants !
Je reviens sur un point :
Les frais de maquette de couverture qu’on propose à des prix exorbitants…
Optez pour un graphiste. Vous aurez affaire à un professionnel qui vous suggérera plusieurs versions pour un prix loin de celui de ces maisons d’éditions véreuses.
Je vous laisse le découvrir la vidéo (25’41) :
À vos succès d’écriture…
Tout ça, c’est du blabla, je n’ai vraiment rien appris de concret.
Bonjour
Du blabla qui servira certainement à celles et ceux, moins avertis que vous.
A vos succès d’écriture
Revisionnez-la, c’est dommage de ne pas prendre conscience de ses informations et donc de ses avertissements !!
Merci beaucoup pour cette vidéo très instructive !
WOW! Merci du partage! C’est très triste mais vraiment intéressant.
Bonjour Marie-Adrienne, à vrai dire l’arnaque gagne du terrain et commence a envahir tous les domaines, il faut vraiment être vigilant et comme tu l’as si bien dis plus haut : « Une personne avertie en vaut deux «
Bonjour/Bonsoir Marie-Adrienne,
Merci d’avoir partagé cette excellente vidéo très très bien réalisée. J’ai appris des choses que j’ignorais et qui m’ont laissé sans voix…
Cordialement
Bonsoir
En matière d’édition, il y a 4 choix.
Le premier c’est le graal dont nous rêvons tous, le compte éditeur.
On ne paye rien, on bénéficie d’une couverture pub énorme et on passe à la télé. Mais, revenons sur terre…
Le deuxième, c’est le compte d’auteur et là, Christelle Lebailly nous dépeint le paysage dans sa vidéo.
Le troisième, c’est l’auto-édition. Là, comme dans le cas précédent, tu payes et la différence réside dans le fait que tu ramasse tous les droits d’auteur. Mais tu fais tout tout seul. Tu dois être graphiste, correcteur, commercial, etc. Si tu décides de passer par des pros, tu payes (mais tu gagnes du temps)
Le quatrième, c’est l’agent littéraire. Apparemment, ça commence à se développer. L’agent prend ton manuscrit, le retravaille avec toi, le présente aux éditeurs jusqu’à la signature d’un contrat… Mais là encore, attention aux arnaques. Il convient de s’assurer que l’agent a bien ses entrées dans les maisons d’édition…
Vous l’aurez compris, il n’existe pas de solution miracle. Il nous reste à espérer qu’une maison d’édition nous repère sur le web…
Vous êtes d’accord ?
@ Camille.
Parfaitement d’accord, cependant, je ne cracherai pas totalement sur la formule de compte d’auteur (enfin, pas entièrement). Pour les personnes écrivant d’un point de vue dit « libératoire », qui n’ont pas vraiment la volonté de l’exploitation proprement dite de leur œuvre, mais dont le fait, ne serait-ce que de l’avoir écrit, est déjà un succès, et qui souhaitent le diffuser principalement à leur entourage, et plus si affinités : cette formule peut-être intéressante. En revanche, un contrat clair sachant qui payera quoi, et les deux partis seront contents, sinon, on se retrouve dans le cadre des maisons d’édition exposées dans la vidéo de Christelle Lebailly.
Si j’avais une assez bonne connaissance du rouage du milieu, je pense qu’une formule de maison d’autoédition serait intéressante à proposer au néo-écrivain, ou écrivain en herbe : la maison d’autoédition idéale, mais surtout utile, qui rassemblera des prestataires sûrs, correcteurs professionnels validés, infographistes, conseiller(ères) littéraires, agent(es) littéraires, aides à la promotion sur le réseau, bref, tout ce dont a besoin un écrivain qui souhaite rentrer dans cet univers, le tout personnalisable, et avec un tarif attractif, pour aider les auteurs à bien démarrer et se professionnaliser rapidement. Ce serait, je pense, une bonne idée pour redorer le blason de cet univers vraiment très fermé.
Merci à Marie-Adrienne pour ce post.
Littérairement,
Bonjour
Si l’objectif est de diffuser auprès de son entourage proche ou plus élargi… une maison d’édition n’est pas nécessaire. Il suffit de se rapprocher d’un imprimeur. Pour mes biographies, je passe par un imprimeur partenaire. La plus petite commande passée pour les livres de mes clients c’était 5 exemplaires mais la plus grosse : 500 exemplaires. Ce dernier a diffusé son livre auprès de sa famille, son entourage et son entourage professionnel et relationnel. Pas utile de faire intervenir une maison d’édition. Je me suis chargée de la maquette de couverture. Et l’imprimeur de l’impression.
A vos succès d’écriture
Bonjour,
Avec cette vidéo, on peut se demander quelles sont les maisons d’édition à qui on peut faire affaire pour envoyer un manuscrit?
Cordialement.
Bonjour Lauriane
En effet, mais il est bon d’alerter car les requins ne manquent pas.
Après, il faut aussi se renseigner de son côté. C’est pourquoi je rédige des articles liés aux éditeurs, aux droits d’auteurs et autres
Bien à vous