Je suis sûre que vous avez déjà connu cette situation. Une idée germe brusquement dans votre tête et vous voilà pressé de la mettre sur papier… Une si bonne idée ! La meilleure que vous n’avez certainement jamais eue. Mais suffira-t-elle à écrire un roman ?
Dès que l’opportunité se présente, vous vous jetez sur votre clavier et en avant… Les doigts courent, les touches claquent… Du bonheur !
Tout se déroule bien jusqu’au jour où… rien ne va plus.
L’histoire ne se développe pas comme il faut, votre héros manque d’étoffe et d’intérêt et l’intrigue tient mal la route. Il y a tant à revoir que vous ne savez même pas ce qu’il faudrait rectifier.
C’est à ce moment-là voilà qu’une petite voix vient confirmer ce que nous n’étiez pas prêt à admettre : ce projet, cette histoire n’étaient pas viables.
Si vous avez déjà cherché à écrire un roman, vous comprenez certainement où je veux en venir. Car vous savez ce que c’est que d’avoir une histoire qui finit par dérailler. Et ce n’est pas les éléments que vous ajoutez au fil de l’écriture qui sauvent la situation.
Pourquoi votre histoire a déraillé ?
Au lieu de s’entêter, mieux vaut arrêter d’écrire et prendre le temps de comprendre pourquoi votre histoire a capoté.
Vous voudriez savoir, n’est-ce pas ?
Le problème est simple. Il faut faire la différence entre l’idée d’une histoire et le concept d’une histoire.
Quand ils commencent à écrire, la plupart des romanciers n’ont qu’une idée pas un concept. Dommage, car cette erreur transforme vite leur projet d’écriture en un cauchemar infernal. Mais ils persistent, s’arrachent les cheveux, deviennent nerveux, se désespèrent et finissent par douter d’eux-mêmes, de leur écriture.
Si vous avez déjà vécu cette situation, c’est que, quand vous avez commencé à écrire, votre histoire n’était qu’une « idée »pas un véritable « concept ». En gros, c‘est comme cuire du pain dans le four sans avoir mis de levure.
Vous ne pourrez écrire un bon roman qu’en creusant suffisamment pour avoir un concept d’histoire. Rédiger des projets basés sur des « idées » peut définitivement tuer votre passion. Surtout si vous repartez de la même façon pour un nouveau projet. Vous savez, le énième projet qui finira dans le tiroir !
Alors comment faire la différence ?
À la base, les histoires ont toutes en commun de relater un fait.
C’est bien beau d’avoir une histoire avec un beau thème, un cadre frais et un personnage extraordinaire, mais si rien ne se passe réellement, votre histoire est ratée.
Réfléchissons, quand vous racontez des histoires à d’autres, qu’attendent-ils 9 fois sur 10 ?
Que vous leur racontiez ce qui s’est passé. Une action, un conflit.
Et c’est précisément ce qui différencie une « idée » d’un « concept ».
Une idée est souvent le semis :
- d’un site
- d’une trame de fond
- d’un thème
- d’un personnage
- d’un cadre
Mais c’est tout ce qu’elle est. Rien de tout cela ne permettra de faire pousser la plante !
Car si ces semis sont importants et mêmes nécessaires, ils ne sont pas les seuls à agir sur l’histoire.
Idée ou un concept ?
Une « idée » devient un « concept » quand il a :
- Un personnage (Protagoniste/Héros)
- Un objectif (quelque chose que veut le héros)
- Une motivation (« le pourquoi », qui constitue le moteur de ce que le héros veut)
- Un conflit (L’antagoniste, ce qui se dresse sur le chemin du héros pour l’empêcher d’obtenir ce qu’il veut)
Voici une formule à utiliser pour commencer à tourner vos graines d’idées en un concept de l’histoire entièrement germé :
(Personnage) veut (But) parce que (motivation), mais (Conflit)
Cette formule simple peut vraiment vous aider à transformer une graine d’idée et en un concept à part entière.
Un exemple : Titanic
- Jack Dawson (Personnage) veut partir en Amérique pour commencer une nouvelle vie (But) parce qu’il est un rat des rues et n’a nulle part où aller (de motivation), mais ce qu’il ignore c’est que le navire sur lequel il embarque le mène droit à la catastrophe (Conflit).
Le concept autour d’un voyage est la substance même des grands romans (et des grands films).
Chaque grande histoire de l’écriture moderne présente un protagoniste à qui il arrive quelque chose. Ce dernier est forcé (par l’antagoniste) de partir pour résoudre un problème/vaincre l’antagoniste/obtenir ce qu’il veut.
À vos succès d’écriture…
Avez-vous une idée ou un concept pour votre prochain roman ?
Dans les commentaires 1) Partagez votre concept OU 2) En utilisant la formule ci-dessus, tournez votre idée en un concept, puis partagez-le.
Entièrement d’accord ! Encore des conseils judicieux qui ne sont pas superflus…
Amicalement…
Merci Jean
À bientôt
Bonjour, article très intéressant comme toujours, je vais me dépêcher de mettre en pratique votre formule!
J’ai eu une idée durant la nuit (réveil plutôt brutal à trois heures du matin), sur la face sombre d’un monde « parfait ». Et une seconde a germé quelque heures plus tard qui serai plutôt sur la vie d’une jeune chasseuse de créatures pas très sympathiques.
J’ai hâte d’utiliser votre formule et de développer c’est deux idées, en espérant qu’elle ne finiront pas abandonnées dans mon tiroir.
Bonjour Cassandra
Venez dire si la formule a marché.
A bientôt
Merci pour cet article. Je voulais écrire plusieurs petites nouvelles. J’ai des idées mais pas de concept comme dit dans votre article. Alors avant de me lancer, je vais essayer utiliser votre formule (Personnage) veut (But) parce que (motivation), mais (Conflit).
Essayez et venir dire ce que cette formule a amené dans votre démarche d’écriture.
Bien à vous
Salut ! D’abord merci pour les formidables articles. Lecteur assidu, j’ai développé une véritable addiction pour ton blog Marie-Adrienne. Je ahane sur un roman depuis plus de deux ans et le début était déjà un concept puisque ça part d’un fait divers, une histoire de vendetta qui m’a bien secoué. Seulement voilà, le fait divers ne dépassait pas les dix lignes et ce que j’ai à dire dépasse largement le contenu d’une nouvelle. Je dois donc étoffer, créer , piocher dans mon entourage et ce n’est pas toujours facile.
Bonjour
Contente que le blog soit si attractif. Ça fait plaisir de le lire.
Pouvez-vous appliquer cette formule (Personnage) veut (But) parce que (motivation), mais (Conflit) à votre histoire de vendetta ?
Pour étoffer, on peut imaginer des intrigues secondaires à partir du but, mais aussi de la motivation et enfin du conflit. Il y a de quoi faire ! Une autre méthode marche bien. Ex considérons le but. Quand vous l’avez défini. Vous vous posez la question pourquoi. Plusieurs réponses vont certainement se présenter. Vous en choisissez une. Et vous vous reposez la question Pourquoi. Là encore, plusieurs réponses vont apparaitre. Vous en choisissez une. Et vous continuez à vous questionner. Je vous garantis que l’on peut aller très loin. Vous trouvez ainsi matière à étoffer.
Bon courage. Puisque vous fréquentez pas mal le blog, n’hésitez pas à commenter, à poser des questions. L’échange est essentiel. J’ai toujours regretté que les écrivains travaillent seuls dans leur coin. Les autres peuvent parfois vous montrer l’évidence que vous ne voyez pas.
Cordialement
J’ai découvert ce blog – un vrai Graal – depuis pas longtemps et je m’évertue depuis peu à remonter les nombreuses pages qui le composent pour fureter les bons conseils. Jeune écrivaine que je suis, je trouve ce blog trèèèèèèèèèès instructif et extrêmement bien mené et surtout, j’adore la façon dont sont rédigés les articles. Bravo !
Sinon, pour tester la méthode du « (Personnage) veut (But) parce que (motivation), mais (Conflit) », j’ai testé sur un de mes scénarios et je trouve que ça fonctionne plutôt bien. Si vous voulez constater pour vous-même, je remplace les parenthèses par mes éléments. Quelques précisions, c’est une histoire qui germe dans mon esprit depuis un petit moment déjà et peut-être que dit en une seule phrase, ça ne vous évoquera pas grand chose. Mais je teste (le contexte est placé au XVIIIème siècle) : Adeline de Monteuil veut tout donner dans son rôle de sous-gouvernante des enfants royaux au Château de Versailles parce qu’elle veut échapper à un mariage arrangé prédit par son père si elle ne maintient pas sa fonction, mais ce que la jeune femme ignore, c’est que son sang n’est pas si noble qu’il n’y paraît et remettra tout en question.
Longue – très longue – phrase, je vous l’accorde, mais je pense qu’avec moins d’éléments, la phrase aurait été ridicule tant elle aurait laissé planer l’inconnu.
Je reviendrai explorer votre page très souvent, c’est certain. En attendant, bonne continuation et à très bientôt !
Cécile
Bonjour Cécile
La méthode (Personnage) veut (But) parce que (motivation), mais (Conflit) fonctionne bien. Elle oblige à réfléchir et elle inclut les ingrédients qui font une histoire. Sinon j’ai bien compris votre concept. Reste à le fouiller, créer les personnages, des fiches lieux et autres compte tenu de l’époque, de monter l’intrigue principale, les intrigues secondaires… et se lancer !
Bon courage.
Revenez quand vous voulez sur le blog
Bonjour,
Je suis à la poursuite du Graal depuis toujours… Je vous ai cherché pendant très longtemps.
Vous êtes le premier cadeau de cette année qui démarre…
Bravo à vous et merci.
Et, dès la lecture des premiers articles, le voile se déchire un peu. Peut-être est-il trop tôt pour savoir avec assurance que je suis écrivain ou, plus sombre idée à admettre, que je ne suis rien de tout cela.
Eternelle torture pour celui qui écrit sans jamais aboutir.
Je découvre donc que je fais partie des créatifs. De ceux qui s’encombrent partout et en tout lieu de ces fichues notes qui s’accumulent sans cesse puis qui prennent la poussière, noyées, égarées, perdues dans un fatras accumulé, comme traduction d’une presque pathologie d’écrivaillon à la manque.
Vous aurez sûrement devancé ma question… puisque j’ai une question, bien sûr.
J’ai tout tenté pour organiser mes notes, les classer, les trier, les développer, les réduire, les ajuster, les calibrer même.
Pourtant, le bazar subsiste, résiste à toutes mes tentatives. Mon bureau est un champ de bataille. Un peu à l’image de cet esprit jamais en repos, dans lequel fourmille en permanence des idées issues de je ne sais où. Des idées ? Certes, et tout le temps, au moindre prétexte, mais…
Comment s’astreindre à cet équilibre parfait qui ferait un parfait écrivain si l’on pouvait mêler, impossible alchimie peut-être, un créatif et un méthodique ?
J’ai tenté mille fois de respecter le fil rouge d’une histoire longuement mûrie mais,toujours, j’ai fini par m’égarer dans quelque méandre inattendu. L’écriture génère d’elle-même parfois, des parcours qu’on ne se sent pas seulement prendre. Et quand, la tête coincée entre deux mains fatiguées, on se propose de tout reprendre… la belle histoire finit invariablement dans cette belle Tour de Pise un peu plus chancelante à chaque nouvel échec…
Alors…le Graal existe-t-il vraiement ?
Bonjour Fred
Oui le Graal existe mais parfois il faut emprunter mille chemins avant de l’atteindre, et surtout beaucoup réfléchir sur soi, sa façon d’écrire, ses raisons d’écrire, ses thèmes d’écriture, son écriture même. Je crois que l’on ne s’interroge pas assez. L’envie d’écrire survient et l’on se lance sans se connaitre mieux. Alors on part pour divers chemins où l’on s’égare.
Votre atout, Fred, c’est la créativité. Les idées fourmillent, vous envahissent et vous submergent. Il faut alors apprendre à les canaliser. Les orienter. Les dompter. Et si elles demeurent difficiles à maitriser… utilisez-les ! Écrivez des histoires courtes. Des nouvelles, par exemple. Ainsi, vous pourrez exploiter vos nombreuses idées et faire de grands progrès en écriture. L’autre solution, c’est de participer à des concours pour ne pas gâcher votre potentiel et vous donner un but, un objectif ferme. Essayez-vous à des nouveautés !
Je vous ai donné quelques pistes. Peut-être avez vous déjà recouru à certaines. Peut-être d’autres seront à tester.
Après, il faut savoir qu’écrire est un art difficile. Il faut de la patience, de l’endurance, de la rigueur… mais au fond, l’écriture n’exige rien de plus qu’un autre art. C’est son apparente facilité qui trompe son monde et le mythe qui l’entoure.
Ne vous découragez pas ! Je ne compte plus les fois où j’ai baissé les bras devant l’adversité, mon manque d’opiniâtreté, la difficulté… mais l’écriture ouvre a un monde merveilleux dont il est difficile de se défaire. Il y a des hauts, il y a des bas. Des échecs et de grandes victoires pour son écriture mais aussi pour soi !
Fred, revenez quand vous voulez, Aproposdecriture permet de rompre la solitude de l’écrivain.
À très vite !
Bonjour
Merci pour cette réponse éclair et éclairée.
Vos commentaires sont précieux et pleins de bon sens.
Pour les pistes conseillées, j’en ai suivies quelques unes ; genres, styles, etc… Je me suis même risqué à un concours qui m’a valu bien des surprises.
Nouvelles, histoires courtes, fables, toutes ces choses ne sont qu’un ersatz. Les amateurs de mon genre rêvent de quelque chose de plus consistant, de plus élaboré, de plus brillant, de plus…glorieux !
Vous me direz que la brièveté d’une histoire ne nuit pas forcément à sa qualité mais nous sommes là, sinon tous, du moins la plupart, à postuler pour le podium…
et à vous solliciter pour nous apprendre enfin.
Surmonter ces difficultés que nous connaissons presque tous, peut-être ne devrais-je parler que pour moi (!) reste notre principal écueil.
Je tenterai donc de suivre ce premier conseil majeur : l’entêtement. Ensuite, je corrigerai mes fautes…
Haut les coeurs !!
Bonjour 🙂 Je suis énormément contente d’être tombée sur votre site ^^ Ça fait vraiment longtemps que je voulais écrire un roman (plus de cinq ans), mais je n’osais jamais me lancer (la peur de l’échec, du ridicule, que mes idées ne soient pas apprécier à leurs justes valeurs …) bref, des peurs qui n’ont pas vraiment lieu d’être, car j’ai demandée l’avis de mon entourage et ils m’ont tous dit de me lancer … après un grand temps de réflexion (pratiquement un an et demi :)) j’ai finalement décidé de me lancer dans l’aventure qu’est l’écriture.
Je dois avouer que pour le moment, j’adore vraiment tous vos articles. Ils sont clairs, concis, précis et le must du must pour moi, ils m’ont aidé à trouvé mon style d’écriture, ce que je n’avais encore jamais trouvé, même après avoir écrit plusieurs nouvelles.
Je suis une auteure de style imaginative/créative (c’est la même chose pour certains, mais moi je trouve qu’il y a une différence entre les deux. Être imaginatif c’est trouvé des idées, les transformer et les façonner de façon à ce qu’ils deviennent concept. Être créatif, c’est avoir tout plein d’idée en tête que l’on réussie à mettre sur papier et à transformer de telle sorte que l’idée deviennent un véritable roman).
En plus d’être une auteure imaginative, mon style de roman, c’est le fantastique, mais également le fantasy ET le policier … sisi c’est possible, me demander pas comment, mais c’est possible Haha x)
Bon pour raccourcir ce pavé, parce que je pourrais continuer encore des heures ^^ Voici l’idée que j’ai transformé en concept … mais je ne sais pas, je trouve qu’il manque un petit truc, celui qu me fera vraiment frémir d’enthousiasme en écrivant mon roman.
Sélène (Personnage) voudrait apprendre à se servir de ses pouvoirs (But) parce que d’une, elle en a marre de tout faire cramer et de deux, elle ne veut pas servir de rat de laboratoire si l’on se rend compte qu’elle peut manipuler la foudre (motivation), mais en se rendant sur Armana, elle n’a aucune idée du danger vers lequel elle se dirige. (Conflit)
En fait pour donner un conflit un petit peu plus précis, Armana est une terre mythique apparut il y a de cela des années. Son véritable nom : Atlantide. Mais très peu de gens le savent. Seuls ceux qui y ont déjà mit les pieds en ont conscience. Les autres l’ignorent. Mais Armana est peuplé de danger. Entre les Atlantes qui ne maîtrisent pas leurs pouvoirs, les hautes sphères qui n’ont qu’une envie : faire des manipulations sur les Atlantes afin de leurs retirer leurs pouvoirs et les implanter dans des cobayes, les créatures toutes plus dangereuses les unes que les autres et les chasseurs de primes (ils chassent et tuent les Atlantes contre une grosse sommes d’argents), ils ne seront en sécurité nuls part.
Bon c’est seulement une idée comme ça, mais je vais vraiment étoffer tout autour, rajouter une ligne directive, enlever ou rajouter des choses. Je veux vraiment que le concept deviennent parfaitement adaptable en roman avant de me lancer ^^
Bonjour et bienvenue
Fouillez votre idée, il y a certainement possibilité d’en faire un roman.
À vos succès d’écriture
Comme vous dite l’idée ne suffit pas pour écrire un roman. Il faut broder autour.
Quand cela m’arrive, je vis avec cette idée un moment. Plusieurs jours. Je vois les personnages et ce qu’ils vont faire, comment ils vont réagir çà certains moment, comment l’histoire va tourner. dès que j’en vois assez, j’écris et d’autres idées me viennent à la suite.
Attention à ceux qui poste leur idées, les idées ne se protège pas ! Faut le savoir !
Merci beaucoup pour tous vos précieux conseils.
Je dévore vos publications depuis que j’ai découvert votre blog. Et j’apprendre beaucoup – énormément.
Certaines choses sont nouvelles pour moi (et je les recopies, fais des listes, note vos suggestions dans un carnet – en un mot, j’essaye d’appliquer vos conseils à mon écriture pour l’améliorer et pour ça MERCI) et ce qui me rassure, c’est que j’en connais et en applique déjà certaines.
Encore merci pour tous vos précieux conseils.
Contente de lire que mes conseils vous aident et vous font progresser.
À vos succès d’écriture
Merci de partager vos conseils !
bonsoir, ou bonjour, au choix vu l’heure ^^ !
je n’ai jamais mis de commentaire sur des sites ou autre mais je voulais te dire merci pour cet article et aussi partagé ma galère sans nom!!!
j’errais sur internet depuis quelques jours si ce n’est quelques semaines à la recherche de toute l’aide possible vis a vis de la création ordonnée et organisée d’un roman et je commence a comprendre grâce à bon nombre de merveilleux sites que la méthode utilisé pour écrire mon roman était désastreuse, d’où mon triste abandon parce que tout était bancale et que je perdais le nord. je la modifiait en long, large et en travers sans jamais réussir a la finir…
( pourtant c’est une histoire et un univers qui me tiennent à cœur plus que de raison, et dont je rêve toutes les nuits depuis que j’ai commencé a l’écrire il y a 6 ans)
Alors grâce a de merveilleux auteur comme toi et à une laborieuse et périlleuse remise en question de mon travail… je crois et j’espère avoir compris l’essentiel. En tout cas ton article est pour ma part le meilleur article sur la différence concept/idée… et très simple à appliqué donc encore MERCI !!!
dis moi si j’ai réussi à appliquer ton conseil, s’il te plait …
petite precision, mon histoire est de la fantasy.
Liana hooklee ( protagoniste) veut sauver sa terre natale ( but) pcq elle est la cause d’une guerre destructice qui la met en péril ( motivation) mais est elle ignore encore certaines verités sur les causes de ce conflit qui vont lui demander bien plus de courage et de sacrifices qu’elle aurait pu l’imaginer. ( conflit)
j’espere que c’est coherent et que c’est comprehensif… j’attends ta critique et ton avis avec impatience.
Bonjour
Oui c’est bien. Maintenant la nouvelle étape sera de construire ton intrigue, tes personnages, et surtout ton « monde », élément très important dans l’écriture d’un roman de fantasy. Ne néglige pas ses étapes !
À tes succes d écriture
merci ! je m’y attèle dès maintenant ! je vais continuer a lire vos articles ! merci !